• Décembre à la librairie Violette and Co
    102 rue de Charonne, 75011 Paris, M° Charonne ou Faidherbe-Chaligny. Bus 46, 56, 76, 86. tél : 01 43 72 16 07   
    www.violetteandco.com/librairie/
    Ouverture du mardi au samedi de 11h à 20h30 et le dimanche de 14h à 19h (fermée le lundi)

    Pour toute communication avec la librairie, merci d'écrire à :
    violette@violetteandco.com
    Pour vous désinscrire, envoyez en "répondre" ce programme en demandant de supprimer votre nom.

    Horaires supplémentaires fin d'année :
    Ouverture exceptionnelle les lundis 11 et 18 décembre de 14h à 20h30
    Jeudi 21, vendredi 22 et samedi 23 décembre : nocturne jusqu'à 21h30
    La librairie sera fermée le mardi 26 décembre et le mardi 2 janvier.

    Une offre spéciale pour Violette and Co :
    La Maison de la culture de Bobigny vous propose un tarif réduit (14 euros au lieu de 23 euros) pour la pièce écrite, mise en scène et interprétée par Jean-René Lemoine Face à la mère. Histoire d'une mère morte tragiquement et de son fils séparée d'elle depuis près de vingt ans. Quelques années après le drame, le fils lui donne rendez-vous pour lui confier ce qu'il n'a jamais osé lui dire. Chant d'amour, de regrets, d'exil et de séparations ayant pour cadre le cataclysme de la terre natale, jamais mentionnée, mais qui pourrait s'appeler Haïti. (jusqu'au 10 décembre, à 20h30 le lundi, mardi, vendredi et samedi ; 15h30 le dimanche. Renseignement et réservations 01 41 60 72 72 en spécifiant tarif Librairie Violette and Co). Le texte Face à la mère publié aux Solitaires intempestifs est en vente à Violette and Co.

    Info :
    LEONORA MIANO, que nous avions reçue à la librairie en septembre est lauréate du prix Goncourt des lycéens 2006 pour Contours du jour qui vient (Plon)


    Ce mois-ci, Violette and Co vous signale quelques parutions :

    - VIOLETTE LEDUC : Je hais les dormeurs, illustré par Béatrice Cussol (éd. du chemin de fer); et un texte de Carlo Jansiti sur Violette Leduc et Jacques Guérin dans L'amour fou, 17 passions extraordinaires (Maren Sell) qui comprend aussi, entre autres, des textes de Laure Murat sur Adrienne Monnier et Sylvia Beach, de Nicole G. Albert sur Djuna Barnes et Thelma Wood, de Jérôme Neutres sur Jean Genet et Abdallah, de Claude Arnaud sur Jean Cocteau et Raymond Radiguet.
    - MONIQUE NEMER : Corydon citoyen (Gallimard)
    - ELIANE VIENNOT : La France, les femmes et le pouvoir. L'invention de la loi salique Vè-XVIè siècles (Perrin)
    - Espace Lesbien n° 5 : Tout sur l'amour. Actes du Colloque 2006 (Bagdam)
    - ZOUC : Zouc par Zouc, L'entretien avec Hervé Guibert (Gallimard)
    ... une curiosité misogyne : Femme. Extrait du Grand dictionnaire universel du XIXè siècle de Pierre Larousse (Bleu autour)
    ... une bande dessinée : PAIGE BRADDOCK : Le Monde de Jane, tome 2 (Dans l'engrenage)
    ... un beau livre : ANNIE LEIBOVITZ : La vie d'une photographe 1990-2005 (La Martinière)
    ... deux albums pour enfants : l'Imagier renversant et Longs cheveux (Talents Hauts)
    ... calendriers et agendas 2007 : calendrier "Au fil des saisons" produit par Ipso Facto ; calendrier "L comme Elle" produit par les Ateliers Koani ; calendrier "les Dieux du stade" ; l'agenda de l'université des femmes "D'elles en art"
    ... un coffret DVD : THE L WORD, saison 3, en anglais ou espagnol uniquement sans sous-titres. (Note : la sortie de la saison 2 sous-titrée en français a été reportée sans date)
    ... un coffret de 10 cartes postales "historiques" publié par l'ARCL (Archives, recherches, cultures lesbiennes)


    Rappel du programme de novembre :

    Jusqu'au 3 décembre : Exposition de photos d'HÉLÈNE EPAUD, "Tamponnées". "Une série étonnante et colorée, l'exploration d'un objet féminin et inattendu. Tout ce qui coupe, fend, coud est là, tout ce qui maquille aussi : un défilé de peits dandys fin prêts pour la parade en s'amusant au catalogue des vanités". Brefs vos tampons font dans l'abstraction, comme vous ne les avez jamais vus ! C'est drôle et poétique, surprenant. Une exposition sélectionnée pour le Mois de la Photo-Off. Hélène Epaud est présente tous les dimanches aux heures d'ouverture de la librairie.

    Vendredi 17 novembre à 19h : Rencontre avec MISSTIC pour la parution de son nouveau livre Parisienne (Alternatives). MissTic, artiste et poète, que nous avions reçue en janvier dernier vient à nouveau nous rendre visite. Depuis des années ses créations graphiques et aphorismes font corps avec Paris. Vous avez sans doute vu cette silhouette si parisienne sur les murs de la Capitale qui interpelle le passant : "Je prête à rire mais je donne à penser", "La poésie est un sport de l'extrême", "Créer c'est résister", "Trop heureuse pour être peureuse"...

    Mercredi 22 novembre à 19h : Rencontre avec MARIE-HÉLÈNE BOURCIER pour la réédition revue et augmentée de Queer Zones (Amsterdam). Publié pour la première fois en 2001 et resté épuisé pendant longtemps, cet essai détonnant, stimulant, provocant qui a pour sous-titre Politique des identités sexuelles et des savoirs a ouvert l'espace théorique queer en France. Il met notamment en évidence l'apport des cultures trans, butch et SM à une réflexion sur la déconstruction des genres. Cette nouvelle édition comprend trois essais inédits sur "le devenir femme" de Deleuze, l'utopie sexuelle urbaine de Gayle Rubin et la post-pornographie selon Annie Sprinckle.

    Samedi 25 novembre à 18h : Rencontre avec ALEXANDRA AUGST-MERELLE et STÉPHANIE NICOT pour la parution de leur essai Changer de sexe. Identités transexuelles (Le Cavalier bleu, péfacé par Martin Winckler). Les deux auteures, fondatrices de l'association Trans Aide en 2004 s'attachent à faire la peau aux préjugés concernant les personnes trans : "Les trans souffrent beaucoup", "L'opération est une mutilation nécessaire", "Ce sont des hommes qui veulent devenir des femmes", "C'est pas leur faute, c'est la nature". Elles nous parlent de la communauté trans dans toute sa diversité en luttant contre les mythes qui s'y attachent.

    Mardi 28 novembre à 21h45 : L'association Salle & Obscur vous propose au Majestic Bastille (4 bd Richard-Lenoir, m° Bastille) la projection du film Olivia de Jacqueline Audry avec Edwidge Feuillère (1950) suivie d'un débat animé par Violette and Co. Histoire d'une attirance d'une jeune élève envers sa professeur dans un pensionnat, Olivia, adapté du roman de Dorothy Bussy, est un classique qui fait partie de la culture lesbienne. Salle & Obscur est une nouvelle association qui a mis en place un ciné-club gay et lesbien. Renseignements : salleetobscur@yahoo.fr

    Programme de décembre :

    Mercredi 6 décembre à 19h : Vernissage de l'exposition de photos de CHRISTELLE VINCENT-POUPIN : "Près de moi". A travers trois séries, cette expositioon explore la relation à l'être aimé dans sa dimension intime. Instantanés de gestes, d'attitudes de couples saisis lors de la marche des fiertés LGBT, fragments du corps féminin captés à hauteur de ce corps comme une vision interne à l'acte amoureux lui-même, et enfin le manque, lieux et corps emplis d'absence se refermant sur l'empreinte douloureuse laissée par le corps de l'autre. Effleurements, peaux, blessures... (exposition jusqu'au 31 décembre)

    Vendredi 8 décembre à 19h : Rencontre avec CLÉMENTINE AUTAIN et ANNE DELABRE pour la parution de Clémentine Autain, portrait (Danger Public). "Je mesure mes handicaps : je suis jeune, je suis femme et je suis blonde." Adjointe à la jeunesse du Maire de Paris, Clémentine Autain désire incarner la relève politique et représenter une jeunesse en révolte. Féministe, militante des droits des homosexuels-les, citoyenne engagée, elle est une représentante active et déterminée de la gauche française. Qui est-elle vraiment ? Une "bobo" au visage d'ange ou une personnalité beaucoup plus complexe marquée par son enfance et par un viol qu'elle évoque pour la première fois ? Un portrait étonnant dressé par Anne Delabre, journaliste, qui a aussi publié Paris Gayment (Parigramme).

    Vendredi 15 décembre à 19h : Rencontre avec ILANA LÖWY sur son essai L'emprise du genre (La Dispute). Avec pour sous-titre Masculinité, féminité, inégalité, cet essai s'attache à comprendre comment la discrimination des sexes se reproduit dans les sociétés modernes. Les postulats du "mythe de l'égalité des sexes" sont en contradiction avec le vécu réel des individus. Le sytème fonctionne en quelque sorte comme dans la fable la Ferme des animaux de George Orwell : tous les animaux sont égaux mais il y a des animaux plus égaux que d'autres... L'auteure démonte les mécanismes de socialisation différenciée des filles et des garçons, des règles de séduction masculine et féminine, de la gestion des corps, des qualités valorisées professionnellement ou de la distribution du pouvoir au sein des couples hétérosexuels.

    Déjà une date en janvier :

    Vendredi 12 janvier à 19h : rencontre avec MARIE-JO BONNET à l'occasion de la parution de son essai Les femmes artistes dans les avant-gardes (Odile Jacob)




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  • Salut CamaradEs

    plein d'activit�s en d�cembre (2 GPT et 1 PLUG) car en janvier la p�niche est en d�placement,

    on reprendra avec une PLUG au Tango le dimanche 4 f�vrier,�

    alors venez nombreusEs on vous attend,�

    bien sur nous sommes ouvertEs � tes propositions de perfs, ateliers et autres r�jouissances...

    Biz

    Mr Katia pour La Tapette en Bois







    � �� �� �- La Tapette en Bois asso loi 1901 -

    ______________________________________



    Pour des espaces F�ministes TransP�d�Gouines �quitables



    - PLUG la soir�e avec des PeufoOormances...

    - PATURAGE les piques niques Transp�d�gouines dans le p�d�land arbor�

    - GPT le bar GouineP�d�Trans avec des ateliers et des consos � partir de 1�50



    THE�site officiel http://tapetteenbois.free.fr



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    "VOLVER POMELOS", LE PETIT DERNIER DE BELLADONNA 9CH,  SORT EN  JANVIER PROCHAIN..

    UNE DIZAINE DE TITRES TIRES DES 2 DERNIERS ALBUMS DE BELLADONNA 9CH, SAUCE ELECTRO AVEC DE VRAIS MORCEAUX DE POP DEDANS.. ET DU CABARET GLAM!

    Plusieurs versions (deep house, electro, tribal) du tubesque "LA SARDINE A L'HUILE", remixes electro trash ou minimaliste de "MUOVA LA MACCHINA", "VAMOS POMELOS", electro pop ou chill out pour "MORSURES" ou "LE FROID BLEU DE LA NUIT".. A découvrir!

     

    Pour le commander, renvoyer le document ci-joint , vous le recevrez en priorité, avec des bonus (vidéo, photos) ! et vous recevrez par mail dès début décembre 2 mp3 en avant première!






     


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    Le peuple qui manque
    Lettre d'information
    http://www.lepeuplequimanque.org

    Bonjour !
    Nous vous invitons chaleureusement à nos projections !




    • Le dimanche 26 novembre à 20h pour une séance du ciné-club de la Fondation Victor-Lyon de la Cité Universitaire de Paris. Nous présenterons trois films sur le thème du post-colonialisme.

    • Le mardi 12 décembre vers 22h (horaire à préciser) au cinéma La Clé pour une Carte Blanche offerte par le Festival des Cinémas Différents de Paris dont le thème cette année est le cinéma politique.


    • Nous avons le plaisir de vous annoncer notre nouveau site internet http://www.lepeuplequimanque.org
    • Appel d'offre: si vous avez réalisé un travail visuel (quelle que soit sa forme) autour des thématiques Queer, feminismes, identités, politiques, post-colonialisme, multitudes, etc., contactez-nous pour une éventuelle diffusion dans l'une de nos programmations.

















    Ciné-club de la Fondation Victor Lyon
    Dimanche 26 novembre 2006 - 20h
    « Ici ou là-bas »

    Le peuple qui manque
    propose le dimanche 26 novembre 2006 à 20h,
    dans le cadre du ciné-club de la fondation Victor Lyon de la Cité Universitaire de Paris
    un programme intitulé
    « Ici ou là-bas »
    Entrée libre



    « On avait commencé, ici aux Antilles, par moquer les fils, ceux qui étaient nés là-bas en France (les sociologues disaient : ceux de la deuxième génération), (...) On s'évertuait de partout à les coincer laminairement entre deux impossibles, d'un ici et d'un là-bas, et entre deux identités, aussi frileuses et circonspectes l'une que l'autre, du Français et de l'Antillais. L'idée grossit alors que la seule ressource était l'intégration. Il y eut des leaders nationaux de l'intégration. Il fallait accomplir la citoyenneté irréversible, au lieu même où on vous l'avait accordée, et malgré même la résistance des citoyens patentés, dits français de souche. Mais ils sont, ceux-là qui naviguent ainsi entre deux impossibles, véritablement le sel de la diversité. Il n'est pas besoin d'intégration, pas plus que de ségrégation, pour vivre ensemble dans le monde et manger tous les mangers du monde dans un pays. Et pour continuer pourtant d'être en relation d'obscurité avec le pays d'où tu viens. L'écartèlement, l'impossible, c'est vous même qui le faites, qui le créez.» Extrait de Tout-monde / Edouard Glissant, Paris, Gallimard, 1995, pp. 324


    #1 – Ici ou là-bas de Diden Zegaoui (1998, 52', Médiathèque des Trois Mondes)
    « Des entretiens poignants sur un aspect peu connu : le retour forcé en Algérie d'adolescents dont les parents n'imaginent plus leur intégration en France. Brutalement déracinés, ils sont obligés de faire le parcours inverse de celui de la génération précédente pour s'insérer dans un pays qu'ils ne connaissent pas ». (Médiathèque des trois mondes)

    #2 – Entretien avec Pascal Blanchard, historien (10', Oumma TV)
    « La fracture coloniale en France est visible, mettez un pied dans une banlieue et regardez... »
    Pascal Blanchard est chercheur au CNRS et co-auteur de « La fracture coloniale. La société française au prisme de l'héritage colonial ».

    #3 – Un imaginaire pour une mondialité à faire (fragments de deux rencontres avec Edouard Glissant et Patrick Chamoiseau) de Federica Bertelli (2002, 32', Les périphériques vous parlent, Hors champ production)
    Evoquant la colonisation des imaginaires en nos temps de mondialisation, deux écrivains martiniquais, Edouard Glissant et Patrick Chamoiseau, dans une vision volontiers optimiste, qui part des langues et de la poésie disent leur confiance dans la possibilité d'une coexistence non-hégémonique des langues, des imaginaires et des peuples, la survie réinventée du divers.



    En présence des Périphériques vous parlent


    Fondation Victor Lyon
    29 boulevard Jourdan 75014 Paris
    Métro Cité Universitaire

    Plan de la Cité Universitaire










    Festival des Cinémas différents
    Mardi 12 décembre
    « Politiques de la marche »
    Marches manifestantes, défilés, dérives et déambulations...




    Du défilé martial des puissants infâmes et baroques de Ulrike Ottinger aux puissantes manifestations muettes ou parlantes de sujets politiques en marche, telles que celles de la Marche contre le sida de 1994 filmée par Sothean Nhieim ou des trans'en colère de l'Existrans 2005 filmée par le Groupe Activiste Trans, la politique se fait aussi dans la rue, on le sait. Qui est visible, qui peut occuper et transformer l'espace public. La marche, lieu de sa force, est aussi celui d'une possibilité d'invention du peuple. Si on peut y récupérer la parole, on y expose aussi son corps. Dans sa dérive sensible, Steven Cohen, danseur performer sud-africain, est « au milieu de ». Par sa marche outrée, vulnérable et énigmatique, sa présence vient intensifier le conflit des espaces et des conditions. Mais, offrant son corps splendide, et dans son ambigüité même, son geste se fait aussi adresse et don. La position de l'arpenteur est solitaire, et toute intérieure. Et dans Vidéolab, si elle est articulation d'une promesse de collectif, elle est d'abord de là où peut émerger la pensée, où se loger soi, dans un temps autre, suspensif, mais simultané à la lutte. Pensée qui témoigne, et inscrit à l'intérieur du film, dans le retrait dans la parole, et la coupure avec le spectaculaire, l'improbabilité même du film politique, toujours en deçà, s'il n'est pas insurrectionnel.


    Superbia - Der Stolz de Ulrike Ottinger (Allemagne, 1986) - 15'
    « C'est en moi qu'a poussé l'arbre du vice dont mes six filles sont les fruits du péché : la gourmandise, la paresse, l'avarice, la colère, la jalousie la luxure. Mais voyez vous-même le carrosse de Superbia emmené par les six autres péchés, dans une marche triomphale et accompagné d'une large escorte... »
    Ulrike Ottinger, réalisatrice allemande à l'œuvre depuis les années 70, dont le travail allégorique, souvent qualifié de féministe et apparenté également au cinéma queer, est encore trop méconnu en France.


    Chandelier de Steven Cohen (Afrique du Sud, 2002) – 17'
    La vidéo de Chandelier a été réalisée au milieu des SDF noirs de Johannesburg pendant la destruction de leur bidonville par les employés municipaux de la ville (habillés en rouge) dans un ballet où la violence est omniprésente. « Les artistes ont toujours dépeint la vie sociale de leur époque, par mes déplacements en chandelier-tutu à travers le bidonville en état de destruction et par le fait de filmer, c'est ce que je fais aussi : une peinture digitale de la vie sociale, à moitié imaginaire, et à moitié horriblement vraie ».
    Le travail de Chandelier révèle à travers l'art de la performance, de la danse et du film, les contradictions entre l'Europe et l'Afrique, les blancs et les noirs, les riches et les pauvres, l'ombre et la lumière, le privé et le public, les forts et les opprimés, la sécurité et le danger". (texte extrait du programme des Ballet Atlantiques, pour la présentation du spectacle not so good, Steven Cohen).

    1er Decembre 1994 (Marche contre le Sida) de Sothean Nhieim (France, Super 8), 13'
    Les émotions des marcheurs semblant comme palpables à l'extérieur, ce qui étreint le cœur dans la splendeur triste et glacée de cette marche nocturne, c'est que la ville ne parle plus que de ça.



    Existrans - XXBoys du GAT (Groupe Activiste Trans) – 4'- 2005
    Lors de l'Existrans 2005, les pirates XXBoys filmés par le Groupe Activiste Trans clament haut et fort la beauté de leurs corps trans, de leur genre et de leur colère contre les politiques publiques, tissant de leurs présences singulières, la force de leur voix collective.



    Vidéolab de la Coordination des Intermittents et Précaires d'Ile de France
    Le videolab est un dispositif multimédia d'énonciation collective ouvert à tous qui se tient régulièrement à la CIPIdF (Coordination des Intermittents et Précaires d'Ile de France) quai de Charente. Pour l'instant, au long de déambulations nous avons tenté d'interroger nos trajectoires et nos expériences de vie à travers la question de l'intermittence. Nous avons aussi essayé d'expliciter nos relations à la forme « coordination ». Nous nous sommes encore demandé comment se compose pour chacun la question du revenu et celle du travail (salaire), celle du temps (dans et hors emploi), celle de l'emploi (forme et contenu) avec notre part d'incommensurable et de désir. Le dispositif du videolab présuppose l'indistinction entre « acteur » et « spectateur », entre producteur-réalisateur d'images et sujets filmés, entre experts et sujets d'enquête. C'est un dispositif de production de publics qui dénoue les séparations, les hiérarchies, les rôles : qui est constituant d'un Nous par la médiation de la vidéo. Par la suite le videolab se propose d'intervenir sur les points de lutte qui viendraient à s'ouvrir sur les territoires. À chaque fois les images produites par le dispositif à la CIPIDF, dans la rue, les usines, les ANPE seront projetées dans le nouveau lieu d'intervention, déclenchant une nouvelle expérience d'énonciation collective, de constitution d'un sensible, de fabrication d'un partage.


    Invités (sous réserve) : CIPIdF, Sothean Nhieim.

    Au cinéma La Clef,
    21 rue La Clef, 75005 Paris,
    Métro Censier Daubenton

    Tarif: 5€ (ou pass festival)

    Pour + de renseignements et le programme complet du festival:
    http://www.cjcinema.org/


    « Le peuple qui manque » est une structure de programmation de films.
    + d'infos: http://www.lepeuplequimanque.org
    lepeuplequimanque@no-log.org

    Programmation: Kantuta Quiros & Aliocha Imhoff


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